Juin, heure de pointe et retour de plage sur la ligne 83… Les jeunes assis au fond, surexcités, les anciens qui râlent en s’épongeant le front, les odeurs de transpiration, les traces huileuses d’ambre solaire sur les barres en métal, les mains moites et les visages ruisselants, le sable qui colle et les fenêtres qui ne s’ouvrent pas, le tout dans un brouhaha épuisant… Vivement l’automne ? Pour rien au monde !